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LES CONDITIONS DE VIE DES MANGAKAS

搾取の瀬戸際

A LA LIMITE DE L'EXPLOITATION

Le métier de Mangakas souvent fantasmé par les fans de Manga ou fan de dessins en général cache une dure réalité de leurs conditions de vie. Entre le salaire bas ou leurs horaires de travail indécents la plupart des Mangakas vivent un enfer malgré leurs passions pour ce métier.

Les mangakas passent en moyenne entre 12 et 15 heures par jour à travailler et 263 heures en moyenne, certains dorment tellement peu et n’ont que trop rarement des vacances qu’ils développent des maladies ou des problèmes de santé après quelques années de travail, pouvant aller d’une dépression jusqu’au suicide

成功、毒入りの贈り物?

LA REUSSITE UN CADEAU EMPOISSONNE ?

À mesure qu’une série devient un succès l’éditeur presse l’auteur et prend de plus en plus le contrôle de l’œuvre pour en assurer la longévité. Si le Manga est un succès il pourrait peut-être adapté en anime, cela boostera sa popularité et ses ventes.

Mais si le Manga n’est pas fini, l’adaptation peut rattraper le rythme de parution et obliger l’auteur à augmenter sa fréquence de travail devenant un moyen de pression stressant. Avec les sorties d'épisode chaque semaine, le cahier des charges est extrêmement limité. Entre salaire bas et horaires de travail indécents, beaucoup d'employés sont découragés.

今後の変更?

DES CHANGEMENTS A VENIR?

La culture du travail au Japon est aussi un problème dans le surmenage des mangakas, la société attends d’un travailleur qu’il consacre corps et âme pour son boulot. De plus le statut de Mangaka est considéré comme indépendant et ne pourront donc pas profiter des avantages de l’état japonais comme un travailleur “ordinaire” comme la couverture médicale

Ces conditions frisent à la limite l’exploitation. Malheureusement, ce problème a gangrené le milieu artistique, et est heureusement, de plus en plus mis en lumière par la communauté espérant l’apparition de solutions par l’état japonais.

見積もり

CITATION

Paroles de Akira Toriyama, le créateur de Dragon Ball, qui déclarait en parlant de son rythme de travail de l’époque : « il fut un temps où je ne dormais que vingt minutes en l’espace de six jours, c’était comme si j’allais mourir ».